Prix : 25 €
Résumé : Mara des Acoma, souveraine de sa maison, s'est imposée comme une force à part entière au sein des clans et comme une joueuse adroite au jeu du Conseil. A présent, dame Mara doit mener la bataille sur deux fronts: le foyer d'intrigues et de trahisons de la cour des Tsurani, et son propre coeur, qui brûle d'affection pour un esclave barbare venu du monde ennemi. Kevin l'initie aux plaisirs de l'amour, mais la pousse également à remettre en question ses principes de vie... Et lorsque cet esclave se révèle un habile tacticien rompu à l'art de la guerre, Mara ne tarde pas à l'impliquer dans ses luttes politiques.
Car la dame des Acoma va devoir affronter un ennemi ivre de vengeance, prêt à tout pour anéantir tous ceux qu'elle aime...
Egalement paru au format poche :
Parution : 2006
Prix : 10,4 €
Résumé : Le grand jeu a coûté à Mara la vie de son père et de son frère. En dépit de l'adversité et de son inexpérience, la jeune femme est parvenue à infliger une cinglante défaite au clan Minwanabi. Désormais à la tête de la maison Acoma, elle doit lutter chaque jour pour en assurer le prestige et l'honneur, et mettre par là-même son propre fils Asaki à l'abri des représailles. Cependant les Minwanabi et leurs alliés n'ont rien perdu de leur désir de vengeance, et le grand jeu ne s'arrête jamais.
Le salut viendra peut-être d'un de ces esclaves Midkemians que Mara a acquis à bas prix et dont le génie politique et militaire pourrait lui donner un avantage décisif... si elle est prête à l'écouter.
Critiques : (Attention aux spoilers)
Ce livre est tout simplement une merveille. C'est avec impatience, émerveillement, et également beaucoup d'attentes (pouvait-il en être autrement, après avoir lu le premier tome ?) que je me suis plongée dans Pair de l'Empire. Et il dépasse de loin toutes mes espérances. La richesse et la complexité de Kelewan ne semblent pas avoir de limites. Les intrigues politiques sont encore plus dangeureuses, les machinations plus insidieuses, plus mortelles, et par là même, plus captivantes.Une autre facette du monde Tsurani est approfondie : l'esclavage. Et quoi de plus envoûtant pour la découvrir qu'un amour inconcevable et pourtant passionné entre la souveraine d'une maison et un esclave barbare ?Nous sommes de nouveau entraînés dans le tourbillon du Jeu du Conseil, où Mara montre encore une fois sa détermination, son intelligence et son courage.lemineria
Voilà, je viens de finir le tome 2. Personnellement j'ai adoré.J'aime sentir que l'auteur a fait un truc très travaillé avec pleins de détails qui nous échappent. Donc là je suis plutôt servie.J'aime beaucoup Mara, et presque autant Kevin. L'histoire est prenante, et je me trouve à ressentir les émotions au fur et à mesure du livre. J'me sentais perdue quand certains personnages principaux disparaissaient de l'intrigue...Quand je l'ai terminé, je n'aurais pas su qu'il y avait un 3e livre, ça ne m'aurait pas dérangé de m'arrêter là... (et vu le début d'histoire du trois... bouhou ca aurait ptet pas été plus mal :p nan je plaisante, mais bon ^^)Donc voilà, pour moi ça vaut un bon 5 étoiles. Je l'ai trouvé un peu mieux que le précédent, mais c'est peut-être parce qu'il contient beaucoup plus de choses (vu la taille c'est pas vraiment étonnant en même temps ^^).Lyra Sullyvan
D'accord ? Pas d'accord ? Des questions ? Venez en discuter sur le forum !Un scénario passionnant avec beaucoup de rebondissements et de choses que même quelqu'un qui s'y attendait en reste surpris.Bien sûr il y a des personnages incontournables : Kévin, excellent avec son humour et sa vision du monde politique tsurani. Mara et son amour qu'elle porte pour Kévin (un peu chiant au bout d'un moment). Nacoya, toujours fidèle à elle-même. Keyoke, dont la situation change sans pour autant déplaire. Arakasi, qui prends un coup de vieux, et Pug agréablement retrouvé même s'il tient un rôle très à part.Le meilleur étant la fin, surprenante et agréable. On est débarrassé de l'impression de grand écart avec le reste des sagas.Mais le seul point négatif est la fin trop heureuse, ou pas assez, on se doute d'une suite.Le fou
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